Parlement (missions d’informations), Institutions financières ( Cour des Comptes),
mouvements et partis politiques, syndicats professionnels de salariés et d’employeurs,
think tanks, organismes associatifs formulent des propositions, selon des approches
parfois incompatibles entre elles sur la place de la « solidarité» dans la société.
- les enjeux politiques partisans empêchent une recherche de solutions négociées
- les corps intermédiaires ne disposent pas des outils pour contribuer à la pédagogie
des réformes ce qui les conduit à l’abstention ou au copier - coller des
« éléments de langage » de leur référentiel politique ou des matraquages médiatiques
des réformes ce qui les conduit à l’abstention ou au copier - coller des
« éléments de langage » de leur référentiel politique ou des matraquages médiatiques
- la méfiance des citoyens vis à vis des pouvoirs en place ne les incitent pas à
s’impliquer pour se faire entendre, autrement que par des manifestations ponctuelles
se substituant à une démocratie sociale efficace.
s’impliquer pour se faire entendre, autrement que par des manifestations ponctuelles
se substituant à une démocratie sociale efficace.
Il ne faut pourtant pas renoncer à trouver une zone de langage commun entre
les « sachant » et des « citoyens » à la fois contributeurs et bénéficiaires :
Réduire les prestations ? lesquelles et pour quels bénéficiaires ?
Augmenter les ressources ? sur quelles assiettes de contribution ?
Auparavant , il convient de s’interroger sur les gains potentiels qui pourraient
résulter d’une « rationalisation » du fonctionnement de l’architecture
de cette redistribution sociale complexe, illustrée par les précédents messages.
résulter d’une « rationalisation » du fonctionnement de l’architecture
de cette redistribution sociale complexe, illustrée par les précédents messages.
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